L’orgasme, en grec : οργασμός (orgasmós), de orgân, « bouillonner d’ardeur », est la réponse physiologique qui a lieu au maximum de la phase d’excitation sexuelle. Il est souvent synonyme de jouissance extrême. Certains chercheurs pensent qu’il est généralement associé, chez la femme, à la rétraction du clitoris, à des contractions musculaires rythmiques périnéales et intra-vaginales.
L’orgasme serait la troisième étape de la stimulation sexuelle, selon le modèle en quatre phases de la réponse sexuelle de Masters et Johnson.
Dans un rapport sexuel, il est habituellement précédé par des jeux amoureux et des caresses avec une intense excitation sexuelle associée.
Il peut se caractériser par d’autres actions involontaires : une baisse de la vigilance, les pupilles des yeux qui se dilatent, une lubrification des organes génitaux, des vocalisations (râles, cris, soupirs, etc.), une respiration accrue dont l’apport d’oxygène décuple les sensations, des spasmes du visage, des contractions musculaires diverses (le coït étant physique par nature, de par ses « va-et-vient »), une rougeur de la peau, une excitation des mamelons, etc ; pour aboutir au « point de non retour » qui déclenche une intense jouissance physique.
Ce serait la conclusion de la phase en plateau par la relâche de la tension sexuelle, accompagnée d’une série de contractions musculaires rapides entourant les régions de l’anus, des muscles du périnée et des organes génitaux, avec émissions de fluides chez les femmes.
Une sensation euphorique généralisée serait, chez certaines femmes ressentie, qui sera dès lors accompagnée de la dernière phase : la résolution de la tension sexuelle, un apaisement.
L’orgasme peut aussi être obtenu au moyen de la masturbation solitaire, sans partenaire associé.
Dans un contexte sexuel, jouir se rapporte au plaisir ressenti pendant l’acte sexuel ou l’orgasme.
Jouir exprime ce plaisir : éprouver un orgasme est synonyme de jouir.
L’orgasme est la réponse physique telle que décrit ci-dessus.
C’est ce que l’on peut généralement lire dans les ouvrages spécialisés.
A mon sens, il serait plus juste de parler » des orgasmes de la femme « , qui jouit sans fin et de multiples façons.
On ne peut confondre plaisir et orgasme, pour celles qui se posent la question. L’orgasme est parfois un coup de tonnerre, qui apaise très brièvement mais qui en appelle des centaines d’autres, jusqu’à épuisement total; ce sont des décharges de jouissance certes mais fatigantes…
Les orgasmes clitoridiens sont plus doux, voluptueux, on peut en éprouver une bonne cinquantaine. Ensuite, c’est le clitoris qui se fatigue un peu.
Les orgasmes féminins par pénétration anale ( sodomie ) sont moins nombreux mais sont plus » taniques « .
Les autres, vaginaux, endogènes etc…sont infinis.
( cet article n’est pas terminé bien entendu, la suite apparaîtra prochainement)